Angéline Vacher

Une psychologue
pour qui ?

Mère – Bébé

Le désir de concevoir un enfant, la grossesse, le post-partum ou encore l’accès à la parentalité amènent joie, bonheur, incertitudes, doutes, etc.

Lorsque le grossesse a généré une grande angoisse, il se peut que les premiers liens d’attachement mère-bébé soient plus difficiles à établir. La grossesse et la mise au monde d’un enfant sont des événements physiologiques pour une femme mais représentent aussi de véritables épreuves physiques et psychiques.
Les motifs de consultation périnatale peuvent être divers: accompagnement du “baby blues”, dépression du post-partum, soutien à l’accueil d’un enfant prématuré ou atteint d’un handicap, deuil périnatal (IVG, IMG, fausse-couche, etc.).

Face à de tels bouleversements, une consultation ou un suivi peut être nécessaire : avoir un espace de parole bienveillant, se poser, se sentir accompagné dans ce processus du devenir parent afin de se sentir moins isolé face à ces difficultés. C’est ce que propose la consultation d’accompagnement périnatal.

Enfants

Les motifs de consultation sont nombreux :

problème d’adaptation dans le milieu familial ou scolaire, agitation ou hyperactivité, agressivité, repli sur soi, difficultés scolaires (manque d’attention et de concentration, etc.), trouble du sommeil, peurs inexpliquées, phobies invalidantes, difficultés relationnelles avec les camarades, etc. Chez l’enfant, le symptôme est la manifestation d’une souffrance qu’il ne parvient pas encore à exprimer.
Le but de la prise en charge est d’aider l’enfant à comprendre et à surmonter ses difficultés dans un espace contenant et sécurisant. Lors de la première consultation.

J’utilise souvent le dessin car il permet d’établir un lien avec l’enfant, d’échanger autour d’une activité ludique et d’aborder les difficultés de façon moins directe. Les productions ainsi réalisées permettent d’explorer le monde imaginaire de l’enfant, d’appréhender ses relations avec son entourage et sa perception de lui-même. Il peut se saisir de ce support pour exprimer ses craintes, ses souffrances ou ses questionnements.

Le jeu est également un bon médiateur dans la relation avec l’enfant car il permet la construction et le règlement des conflits internes et externes, de décharger et de gèrer l’angoisse générée par ces conflits. C’est une activité créative permettant de mettre en scène le vécu et les émotions de l’enfant.

Adolescents

J’ai consacré mes mémoires de recherche de fin d’étude à cette période marquée par de grands bouleversements physiques et émotionnels. L’un de mes mémoires portait sur les tentatives de suicides à l’adolescence et l’autre sur les troubles de l’attachement chez les adolescents placés en institution.

L’adolescence est un passage obligé vers la maturité où chacun va se confronter à ses propres limites, se pose alors la question de l’orientation scolaire, l’accès à la sexualité, la recherche identitaire.

L’aide d’un psychologue peut être utile dans les cas suivants : dépression, échec ou phobie scolaire, harcèlement, conduites addictives, troubles du comportement alimentaire, violence et agressivité envers l’entourage, etc.
La psychothérapie va permettre à l’adolescent de donner du sens à ses actes, afin d’acquérir peu à peu un meilleur contrôle sur lui même, sur ses comportements et de se sentir moins soumis à ses besoins pulsionnels.

L’objectif est d’offrir à l’adolescent un espace de parole sécurisant et confidentiel. C’est en exprimant ses craintes, ses doutes, ses questionnements que l’on évite les passages à l’acte qui peuvent être destructeurs voir fatals pour beaucoup trop d’adolescents en quête d’identité fragile et vacillante.

Lors de la première consultation, la présence des parents est nécessaire afin de définir ensemble la demande et d’obtenir des informations sur l’histoire de l’adolescent et de sa famille. Lors des consultations suivantes, je reçois l’adolescent seul avec des temps d’échanges réguliers avec les parents et/ou l’équipe éducative lorsque la situation le nécessite.

Adultes

Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises raisons pour consulter : on peut éprouver des difficultés relationnelles au sein du couple, en famille, ou encore parce qu’on se sent isolé. On peut aussi rencontrer des difficultés personnelles: on se sent mal dans sa peau, on est déprimé ou stressé, etc. Les consultations peuvent être ponctuelles (moment passager ou événement douloureux) ou elles peuvent répondre à des demandes plus précises: addictions, dépression, burnout, agression traumatisante, maladie, deuil, angoisses, séparation, perte d’emploi, etc.
Les consultations peuvent être ponctuelles (moment passager ou événement douloureux) ou elles peuvent répondre à des demandes plus précises: addictions, dépression, burnout, agression traumatisante, maladie, deuil, angoisses, séparation, perte d’emploi, etc.

Les étudiants sont également sujets au stress et à l’anxiété, mais ils sont encore peu nombreux à franchir le pas des consultations.

Je vous propose un accompagnement afin de reprendre confiance en vous, consulter un psychologue c’est prendre la décision d’identifier son mal-être et d’y faire face. La durée et le rythme s’adaptent à chaque situation et à chaque personne.